PROGRAMME PARALYMPIQUE

Symbole du comité paralympique canadien

Le Judo a été ajouté au programme paralympique aux Jeux de Séoul en 1988. Les épreuves féminines ont été ajoutées aux Jeux paralympiques d’Athènes en 2004. Le sport est maintenant largement pratiqué par les athlètes masculins et féminines dans plus de 40 pays. Le Canada a gagné quatre médailles de bronze aux Jeux paralympiques dont trois par Pier Morten.

Priscilla Gagne porte drapeau cérémonie Tokyo 2020

Les judokas canadiens ont également remporté des médailles aux Championnats du monde IBSA. William Morgan a remporté deux médailles et Priscilla Gagné est devenue la première Canadienne à monter sur le podium des Championnats du monde IBSA. Les judokas paralympiques canadiens ont également remporté plusieurs médailles aux Championnats et Jeux panaméricains.

Au Canada, les judokas paralympiques pratiquent généralement dans des clubs de judo avec des athlètes sans handicap dans un environnement inclusif. Judo Canada a fièrement présenté un format de compétition entièrement inclusif en jumelant les championnats continentaux IBSA en même temps que les championnats nationaux et cela à deux reprises soit en 2018 et 2020. Les judokas paralympiques ont combattu au même endroit et en même temps que les judokas sans déficience visuelle. Ce format de compétition a été accueilli favorablement par la communauté IBSA. De plus, nos athlètes canadiens ont remporté 4 titres panaméricains dans ces événements: Priscilla Gagné (deux titres), Michelle Jorgensen et Justin Karn.

Le Judo est régi par la Fédération internationale des sports pour aveugles (IBSA) et suit les règlements que la Fédération internationale de judo (FIJ) utilise dans les autres compétitions de haut niveau de judo sans handicap, avec de légères modifications pour les athlètes ayant une déficience visuelle. Pour obtenir plus de renseignements détaillés sur le judo, visitez le site de l’ IBSA

Classes de Judo

 

Le para judo compte deux classes qui concourent dans deux divisions distinctes :

 

J1 – La déficience visuelle d’un athlète doit avoir pour conséquence une acuité visuelle inférieure à
ou égale à LogMAR 2,6 en vision binoculaire.

 

J2 – L’acuité visuelle de l’athlète doit se situer dans une fourchette de LogMAR 1,3.
et 2,5 en vision binoculaire, ou avec un champ visuel binoculaire de 60 degrés ou
moins de diamètre.

Critères PAACriteresPAA50

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